La cession de SGCI reste un défi, compte tenu notamment de son implantation dans une économie à fort potentiel.
Le groupe bancaire français Société Générale, lancé dans un programme de désengagement en Afrique, se heurtera à des arbitrages majeurs pour la cession de sa filiale en Côte d'Ivoire. Au-delà des enjeux politiques et de sa position dominante dans l'UEMOA, Société Générale Côte d'Ivoire (SGCI) présente un niveau de valorisation qui restreint sérieusement le nombre de repreneurs potentiels.
Contrairement au Maroc où Société Générale a cédé sa filiale au groupe Saham dans un marché bancaire mature, l'Afrique subsaharienne présente un contexte différent. Des solutions ont été trouvées pour des filiales plus modestes, notamment en République du Congo, au Tchad, au Mozambique, au Benin et au Togo. Mais la situation en Côte d'Ivoire s'annonce plus complexe. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/finance/0908-120749-societe-generale-le-casse-tete-concernant-la-cession-de-la-filiale-ivoirienne
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