Les enjeux socio-économiques, environnementaux et sécuritaires de l’exercice légal de l’orpaillage en Côte d’Ivoire : de la clandestinité à la légalité », c’est le thème principal de la convention qui réunit les membres du Syndicat national des agriculteurs miniers de Côte d’Ivoire (Synamici), les professionnels de l’orpaillage, les coopératives villageoises avec la participation des ministères techniques et des partenaires au développement.
Au nom du ministère des Mines, du pétrole et de l’énergie, le directeur de l’Exploitation minière, Abouba Georges, a fait connaître les efforts faits par le gouvernement pour endiguer ce phénomène de l’orpaillage clandestin ; cela, selon lui, est passé par les différentes réformes initiées qui ont abouti au nouveau code minier « Ces principales réformes ont permis à l’Etat de Côte d’Ivoire d’augmenter ses recettes fiscales tirées du secteur minier qui sont passées de 65.841 milliards de FCFA en 2018 à 94.582 milliards de FCFA en 2019, soit une hausse de 43.62% », a-t-il indiqué non sans oublier de souligner, outre les dégâts environnementaux, les dégâts économiques qu’engendre l’orpaillage clandestin « Malgré tous les efforts consentis par l’Etat de Côte d’Ivoire en faveur de la formalisation de l’artisanat minier, la criminalité minière dans toutes ses formes continue d’affecter durement notre économie. Plus d’infos sur https://news.abidjan.net/articles/704462/abouba-georges-directeur-de-lexploitation-miniere-40-tonnes-dor-transitent-a-travers-les-frontieres-ivoiriennes
Écrire commentaire