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Dakar, le 19/11/24- En marge de la réunion du Comité RSE, la Direction Générale de AUCHAN Sénégal, représentée par M. Ivan Mboumba, a signé avec la Direction des Parcs Nationaux (DPN), représentée par le Colonel Ndery Diaw, une convention de partenariat visant à faciliter l’approvisionnement en nourriture fiable des animaux du Parc Zoologique et Forestier de Hann.
En contrepartie de la fourniture d’une quantité d’invendus alimentaires provenant des magasins AUCHAN, la DPN mettra à disposition de AUCHAN Sénégal les installations du Parc Zoologique et Forestier de Hann pour :
-des visites de sensibilisation des collaborateurs sur l’importance de la protection de la nature et de la conservation des espèces animales;
-l’organisation d’événements en lien avec le Développement Durable.
La réunion du Comité RSE a également permis de faire le point sur l’état d’avancement du projet RSE structurant qui sera mis en œuvre en priorité par AUCHAN Sénégal sur une période de 3 ans avec le soutien financier de la Fondation AUCHAN.
Ce projet à fort impact sociétal et environnemental qui cible les écoles et lycées publics vise à conscientiser les élèves sur la bonne et saine alimentation (ODD 2&12 Consommation durable) et à les sensibiliser sur la protection de l’environnement (ODD 13&15 Biodiversité).
À l’issue de cette réunion, les membres du Comité RSE de AUCHAN Sénégal ont reçu de la part de M. Philippe Barry du Cabinet CFPMI / RSE Senegal des attestations par rapport à leur parcours de formation sur la RSE&DD.
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2024
Le siège de la Fondation N'Sia, sis à Cocody-Les II Plateaux à Abidjan, a abrité le lundi 18 novembre 2024 la signature d'un partenariat entre la Fondation N'Sia et la direction de l'Ong Femmes -Agriculture-Actions en Côte d'Ivoire (FAACI) qui encadre les femmes de Tafiré spécialisées dans la culture du karité.
Les conditions de vie des femmes des zones rurales dans le nord ivoirien, notamment les femmes du complexe FAACI de Tafiré spécialisées dans la culture du karité, restent une sérieuse problématique à laquelle la fondation NSIA veut apporter une solution concrète à travers l'autonomisation de la femme et de la jeune fille.
L'objectif de ce partenariat est d'accompagner les femmes du complexe FAACI de Tafiré spécialisées dans la culture du karité à s'autonomiser à travers la mise en place d'un ouvrage au sein de cette structure pour accélérer le processus de transformation de l'amande de karité.
Regis Franck Segbenou, directeur exécutif de la fondation N'Sia, a souligné l'importance particulière et l'impact positif de ce projet d'autonomisation sur ces femmes courageuses et battantes de la zone rurale de Tafiré au regard du travail qui est en train d'être fait. Plus d’infos sur https://news.abidjan.net/articles/736750/cote-divoire-la-fondation-nsia-et-long-femmes-agriculture-actions-sunissent-pour-lautonomisation-des-femmes-a-tafire
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Au Mali, le britannique Hummingbird Resources est proche d’un accord avec les autorités locales concernant l’application du code minier adopté en 2023, à sa mine d’or Yanfolila. C’est ce qu’a appris l’Agence Ecofin, le mercredi 13 novembre, lors d’une discussion en ligne entre la direction de la compagnie et les investisseurs.
Depuis des mois, Bamako cherche en effet, à récupérer un manque à gagner estimé entre 300 et 600 milliards FCFA (482,6 millions à 965,1 millions $) auprès des compagnies, tout en négociant l’application des termes du nouveau code minier à leurs opérations. Il s’agit notamment de porter la participation du gouvernement à 30 % dans les mines, contre 20 % actuellement, tout en introduisant une participation de 5 % pour les investisseurs locaux, soit 35 % au total pour le pays.
C’est dans ce sens que des accords ont déjà été signés avec les canadiens B2Gold, Allied Gold et Robex Resources.
Ces trois compagnies ont cumulé au Mali une production d’or de plus de 800 000 onces en 2023, dont 590 243 onces uniquement pour B2Gold. La contribution de Hummingbird est plus modeste, puisque Yanfolila a livré 83 965 onces l’année dernière. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-industries/1411-123407-nouveau-code-minier-au-mali-hummingbird-proche-d-un-accord-pour-sa-mine-d-or
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Selon les données de 2023 du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire, la Chine représente 5 % des investissements directs étrangers. Surtout présent dans les infrastructures et l’agriculture, l’empire du Milieu augmente ces derniers mois son implication dans le secteur minier local.
Aurum Resources a participé du 16 au 17 novembre 2024 au premier symposium international sur la prospection minière à Chengdu, dans la province chinoise du Sichuan. La présence à l’évènement de cette junior minière australienne, active dans l’exploration aurifère en Côte d’Ivoire, illustre l’influence grandissante de la Chine dans le secteur minier ivoirien.
À la conférence, Aurum a présenté aux investisseurs présents les opportunités dans l’exploitation de l’or en Côte d’Ivoire, pays où la société contrôle le projet aurifère Boundiali. Depuis le début de l’année, c’est la troisième conférence minière chinoise à laquelle participe la junior minière australienne qui compte déjà plusieurs investisseurs de l’empire du Milieu parmi ses principaux actionnaires, dont Caigen Wang et la société Zhaojin Mining. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-industries/1811-123500-l-influence-de-la-chine-grandit-dans-l-exploitation-de-l-or-en-cote-d-ivoire
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2024
En Côte d’Ivoire, le Conseil du coton et de l’anacarde (CCA) vient de conclure un accord avec l’entreprise agroalimentaire émiratie Rosyson pour la réalisation d’un projet de transformation d’anacarde dans le pays. L’annonce a été faite dans un communiqué publié le mercredi 13 novembre sur la page Facebook du régulateur.
D’un coût total de 15 milliards de francs CFA (24 millions $), ledit projet prévoit l’installation d’une unité de transformation d’une capacité de traitement de 60 000 tonnes de noix de cajou par an. Pour l’heure, les détails supplémentaires tels que le site et la date de lancement des travaux n’ont pas encore été révélés.
Plus largement, cette annonce intervient alors que le CCA avait déjà signé en septembre dernier des engagements d’investissement dans la transformation de noix de cajou d’une valeur cumulée de 28,7 millions $ avec 3 autres entreprises étrangères. Tous ces projets, s’ils se réalisent, devraient contribuer à accroître davantage la capacité de transformation de l’industrie locale. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-agro/1411-123417-cote-d-ivoire-l-emirati-rosyson-injecte-24-millions-dans-la-filiere-anacarde
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2024
En Afrique de l’Ouest, la production de céréales est attendue à 73,7 millions de tonnes cette année. C’est ce qu’estime la FAO dans son dernier rapport sur les Perspectives de cultures et la situation alimentaire mondiale publié le dimanche 3 novembre dernier.
Le stock annoncé traduit un recul de 700 000 tonnes par rapport à la récolte enregistrée au cours de l’année précédente. Il signe en outre une augmentation de 2,2 % soit 1,7 million de tonnes de plus que la moyenne quinquennale évaluée à 72 millions de tonnes. En dehors du Niger où la production devrait croître de 14 % d’une année sur l’autre, la récolte devrait reculer dans tous les autres pays de la sous-région.
Pour expliquer cette projection, l’organisme onusien évoque dans un premier temps des déficits pluviométriques entre juillet et septembre qui ont réduit les rendements dans certaines parties du nord de la Côte d’Ivoire, du Bénin, du Ghana et du Togo.
A cela s’ajoute l’impact des pluies abondantes entre juin et septembre qui ont provoqué des inondations généralisées, entraînant des pertes de récoltes localisées dans certaines régions du sahel, notamment au Burkina Faso et au Mali. Plus d’infos sur https://www.agenceecofin.com/actualites-agro/1511-123459-afrique-de-l-ouest-la-recolte-de-cereales-en-baisse-de-700-000-tonnes-en-2024-fao